Avant sa fugue, le meurtrier présumé de 56 ans, Jean-Pierre Guillaud, atteint de schizophrénie et déjà auteur de trois agressions du même type (dont une en 2006 à Miribel-les-Echelles, en Isère), avait le droit à deux sorties d'essai par semaine depuis septembre, un régime validé par la préfecture. Il était qualifié de patient « sinon modèle du moins qui ne posait aucune difficulté » par le directeur de son hôpital psychiatrique. L'affaire relance le débat sur l'enfermement des individus susceptibles, d'après leur passé ou leur état, d'être dangereux.
Combien de drames de ce genre faudra-t-il encore pour que des mesures efficaces soient prises, et pas seulement pour « mieux encadrer les sorties des établissements » mais surtout pour en éliminer définitivement la cause ?
Car il est évident que ceci est une nouvelle preuve de l'échec de la psychiatrie 1) à savoir reconnaître un patient dangereux pour la société et 2) à traiter ce genre de patient. De plus, comme ce patient est suivi depuis des années par un psychiatre, cela signifie qu'il prend des antidépresseurs de façon régulière, étant donné que c'est le seul "traitement" que savent administrer les psychiatres. Or cela fait des années qu'il est prouvé que les antidépresseurs, anxiolitiques et autres drogues psychiatriques font plus de mal que de bien aux patients : les effets secondaires sont, excusez du peu, le suicide et l'agressivité. Et pourtant ces "médicaments" sont toujours prescrits...
Combien de drames de ce genre faudra-t-il encore pour que des mesures efficaces soient prises, et pas seulement pour « mieux encadrer les sorties des établissements » mais surtout pour en éliminer définitivement la cause ?
Car il est évident que ceci est une nouvelle preuve de l'échec de la psychiatrie 1) à savoir reconnaître un patient dangereux pour la société et 2) à traiter ce genre de patient. De plus, comme ce patient est suivi depuis des années par un psychiatre, cela signifie qu'il prend des antidépresseurs de façon régulière, étant donné que c'est le seul "traitement" que savent administrer les psychiatres. Or cela fait des années qu'il est prouvé que les antidépresseurs, anxiolitiques et autres drogues psychiatriques font plus de mal que de bien aux patients : les effets secondaires sont, excusez du peu, le suicide et l'agressivité. Et pourtant ces "médicaments" sont toujours prescrits...