Abus psychiatriques : les enfants ciblés
De nos jours les enfants sont de plus en plus soumis à des évaluations et des traitements psychiatriques. Ces derniers peuvent être brutaux et dangereux : chambre d’isolement, camisole de force, électrochocs, injections de médicaments, etc.
L’antidépresseur Prozac par exemple peut entraîner de nombreux effets secondaires comme des hallucinations, de l’anxiété, des délires, comas, maladies cardiaques, hémorragies, suicide, etc. Ce médicament est pourtant prescrit à des enfants dès l’âge de 8 ans.
La Ritaline, souvent prescrite pour l’hyperactivité, peut entraîner des palpitations, des vertiges, convulsions, psychoses, état dépressif avec idées suicidaires, et beaucoup d’autres effets, alors que cette drogue est prescrite à partir de 6 ans.
Aujourd’hui en France plus de 63 000 adolescents et 21 000 enfants prennent des antidépresseurs. Plus de 10 000 enfants et jeunes sont internés chaque année. 6% des femmes enceintes consomment des médicaments psychiatriques. Ainsi, même des futurs enfants sont déjà drogués avant la naissance.
Les effets à long terme de la consommation de psychotropes chez les enfants ne sont pas encore connus. Pourtant les psychiatres n’hésitent pas à leur prescrire ces drogues pour le moindre comportement déviant ou difficulté scolaire.
Les enfants représentent un marché très lucratif car ils assurent une clientèle de plusieurs dizaines d’années à la psychiatrie.
Les traitements psychiatriques sont un risque évident pour les prochaines générations. Les parents doivent être correctement informés pour pouvoir protéger leurs enfants en conséquence.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme dénonce les abus psychiatriques depuis près de 40 ans en France. L’association a déjà reçu de nombreux témoignages d’enfants décédés dans des établissements psychiatriques ou suite à des traitements psychiatriques.
Pour plus d’informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdh.fr, ou contactez-nous par téléphone au 01 40 01 09 70 ou par email à info@ccdh.fr.