La psychiatrie dans nos prisons
De nos jours la criminalité semble être considérée comme une maladie mentale. Il faudrait faire appel à la psychiatrie pour traiter ces comportements.
Pourtant la psychiatrie n’a jamais été capable de diagnostiquer réellement les troubles mentaux ni de les soigner. Elle se contente de lister quelques symptômes et d’étiqueter à tout va des personnes malades.
Cette technique permet de prescrire beaucoup de médicaments psychiatriques et de rapporter beaucoup d’argent. Ces médicaments ne font que masquer les symptômes et ne soignent pas, rendant généralement les consommateurs dépendants, dans un état végétatif, et sujets à des effets secondaires.
Les effets secondaires les plus courants de certains psychotropes sont l’agitation, l’agressivité, l’anxiété, la nervosité, les hallucinations, le suicide, la dépersonnalisation, etc. Les psychotropes peuvent donc pousser à encore plus de violence.
Dans les faits, un détenu qui aura pris des traitements psychiatriques a plus de chances de récidiver à sa sortie de prison que de devenir un citoyen responsable et productif.
La plupart des crimes que nous voyons dans les faits divers ont été commis par des personnes suivies en psychiatrie et sous traitement.
Aujourd’hui, un tiers des détenus seraient sous psychotropes, dont 10% sous antidépresseurs.
Le traitement des criminels relève de la justice et non de la psychiatrie. Chaque criminel devrait être considéré comme responsable de ses actes. Il serait dangereux pour les détenus et pour la société de laisser la psychiatrie s’immiscer dans ce domaine.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme a été créée en France en 1974 pour dénoncer les abus psychiatriques. De nombreuses victimes contactent l’association chaque semaine.
Pour plus d’informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdh.fr, ou contactez-nous par téléphone au 01 40 01 09 70 ou par email à info@ccdh.fr.