L’alliance lucrative de la psychiatrie et des laboratoires
Le DSM, Manuel Diagnostique et Statistique des troubles mentaux, appelé « bible des psychiatres », répertorie toutes les soi-disant maladies psychiatriques.
Ce manuel fait plus de 1000 pages et liste plus de 370 troubles.
Il catalogue en fait tous les comportements et émotions de la vie : timidité, exultation, chagrin, problèmes scolaires, disputes, etc. Et ceux-ci concernent toutes les tranches d’âges, des bambins aux personnes âgées. D’après certains psychiatres, on peut mettre l’étiquette « maladie mentale » sur tout aspect de la vie.
Dans quelques mois, une nouvelle édition du DSM sera publiée, et elle rassemblera encore plus de maladies littéralement inventées.
Le but de tout ceci est de diagnostiquer toujours plus de personnes « malades mentales » et de prescrire des traitements. Des psychiatres ont même dit que la moitié d’entre nous souffrirons d’un trouble mental dans notre vie à un moment ou un autre. Voilà qui représente une clientèle assurée pour la profession.
Aujourd’hui un diagnostic psychiatrique implique presque systématiquement une prescription de médicaments. La consommation de drogues psychiatriques est d’ailleurs devenue ahurissante. En France, une personne sur trois en a déjà pris au cours de sa vie.
Ces traitements entraînent la plupart du temps une forte dépendance et de graves effets secondaires.
Ce phénomène de société auquel nous assistons ne tient pas du hasard : cela rapporte gros aux psychiatres et aux laboratoires pharmaceutiques.
Aussi, ils n’hésitent pas à inventer de nouvelles maladies pour vendre plus de médicaments malgré les risques qu’ils représentent. Jusqu’où iront-ils ?
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme a été créée en 1974 en France pour dénoncer les abus psychiatriques. L’association est contactée toutes les semaines par de nombreuses victimes de la psychiatrie et de ses traitements.
Pour plus d’informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdh.fr, ou contactez nous par téléphone au 01 40 01 09 70 ou au 06 28 06 59 16, ou par email à info@ccdh.fr