Le marché frauduleux des drogues psychiatriques
Pour chaque problème du quotidien, il existe une pilule qu’il suffit de prendre pour soi-disant se sentir mieux. La psychiatrie nous a fait croire à la « pilule du bonheur », pouvant remédier à tous les maux des êtres humains.
La plupart des médicaments de la médecine traditionnelle traitent de vraies maladies, soignent et guérissent les malades, apportant une amélioration pour leur santé.
En revanche, les médicaments psychiatriques sont des drogues puissantes et dangereuses. Ils ne font que masquer les symptômes, n’apportent aucune guérison et détériorent la santé des consommateurs.
Ils peuvent entraîner une forte dépendance et de graves effets secondaires comme des hémorragies, des comas, des troubles respiratoires, des pertes de mémoires, des hallucinations, de la violence, des suicides, etc.
En 2008, plus de 240 millions de boîtes de psychotropes ont été vendues. Le chiffre d’affaire a été de plus d’un milliard d’euros. (Source : AFSSAPS)
Les Français sont aujourd’hui les plus gros consommateurs de médicaments psychiatriques en Europe.
L’hôpital psychiatrique de Toulouse a récemment signé une convention avec l’inspection d’académie de Haute-Garonne pour une prise en charge psychique des enfants scolarisés. Des interventions psychiatriques se feront directement dans le milieu scolaire. Des milliers d’enfants risquent d’être soumis à des traitements psychiatriques dangereux !
Les psychiatres n’hésitent pas à créer de nouvelles maladies et de nouveaux médicaments pour s’assurer une clientèle. C’est un marché très important qui s’est développé, au détriment de milliers de victimes de ces traitements nuisibles.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme existe depuis 1974 en France pour dénoncer les abus dans le domaine de la psychiatrie. Elle est en contact avec de nombreuses victimes de traitements psychiatriques.
Pour plus d’informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdh.fr, ou contactez nous par téléphone au 01 40 01 09 70 ou au 06 28 06 59 16, ou par email à info@ccdh.fr