Les effets secondaires dangereux des médicaments psychiatriques
Alors que le DSM (manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) risque d’accroître les pseudos diagnostics psychiatriques en qualifiant de maladie tout comportement humain, la consommation de médicaments psychiatriques risque également d’augmenter.
Pourtant ces drogues, les psychotropes, peuvent entraîner de graves effets secondaires.
Selon le dictionnaire Vidal, les antidépresseurs tels que le Prozac ou le Zoloft peuvent conduire entre autres à des hallucinations, des troubles cardiaques, ou encore au suicide.
Les anxiolytiques comme le Lexomil ou le Xanax peuvent entraîner de l’agressivité, de l’amnésie, de la confusion, etc.
Pour ce qui est du psychostimulant Ritaline, souvent prescrit pour l’hyperactivité aux enfants dès l’âge de 6 ans, il peut entraîner des psychoses, des convulsions, des idées suicidaires, etc.
Plus d’un milliard d’euros est remboursé chaque année par l’assurance maladie pour ces produits. Ils représentent évidemment un marché très lucratif pour la psychiatrie et les laboratoires pharmaceutiques.
La prise de ces traitements n’est pas anodine. Les utilisateurs devraient être impérativement informés de tous les effets de ces derniers.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme dénonce depuis près de 40 ans en France les abus de la psychiatrie. L’association reçoit chaque semaine de nombreux témoignages de victimes et de familles.
Pour plus d’informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdh.fr, ou contactez-nous par téléphone au 01 40 01 09 70 ou par email à info@ccdh.fr.