Les psychotropes entraînent de graves effets secondaires pouvant être mortels
L’efficacité et la sûreté des médicaments actuellement sur le marché dans notre pays est au cœur de l’actualité. Les relations incestueuses entre l’industrie pharmaceutique et les autorités de santé sont dénoncées.
Aujourd’hui, de nombreux médicaments sont prescrits alors que certains d’entre eux présentent de vrais risques pour les consommateurs.
Les médicaments psychiatriques ou psychotropes, supposés soigner les troubles mentaux, sont en fait extrêmement nocifs. Ils entraînent une forte dépendance ainsi que de graves effets secondaires.
Voici un petit nombre d’effets secondaires que ces médicaments peuvent entraîner : confusions, hallucinations, anxiété, troubles cardiaques et sexuels, délires, comas ou encore des comportements suicidaires.
Pourtant ces médicaments sont prescrits à un grand nombre de citoyens français, dont des personnes âgées, des enfants ou des femmes enceintes.
Par exemple, la prescription de Ritaline est autorisée pour des enfants à partir de 6 ans. Ce médicament peut entrainer psychoses, vertiges, convulsions, hallucinations ou encore idées suicidaires.
Nous pouvons voir les conséquences de ces drogues dans notre société. En novembre 2010 dans le Finistère,un homme tue ses parents et se suicide alors qu’il était suivi en psychiatrie.
Cette forte consommation dans notre pays est inquiétante. L’assurance-maladie rembourse déjà environ un milliard d’euros par an pour ces médicaments.
Un projet de loi sur la psychiatrie a été présenté en mai 2010 par Mme Bachelot au Conseil des Ministres. Cette loi veut mettre en place des traitements psychiatriques sous contrainte pour la population française.
Si cette loi est votée, n’importe quel citoyen en France pourra être contraint de prendre régulièrement des drogues psychiatriques. Si une personne refuse un traitement, elle sera alors internée de force en psychiatrie.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme dénonce ce projet de loi liberticide qui met en danger nos libertés fondamentales et la santé des Français.
L’association a fait signer des milliers de pétitions contre le vote de cette loi, et continue d’informer les Français des dangers de celle-ci.
CCDH existe depuis plus de 35 ans en France et reçoit de nombreux témoignages de victimes d’abus psychiatriques.
Pour plus d’informations, visitez le site de CCDH www.ccdh.fr, ou contactez nous au 01 40 01 09 70, ou au 06 28 06 59 16, ou par email à info@ccdh.fr.