Morts en psychiatrie et crimes commis par des patients : la psychiatrie remise en cause
La cour d’appel de Grenoble a renvoyé fin novembre en correctionnel un médecin psychiatre et un hôpital psychiatrique pour homicide involontaire.
Les faits remontent au 12 novembre 2008 où Jean-Pierre Guillaud, alors interné à l’hôpital de Saint-Egrève, s’échappe et poignarde Luc Meunier à Grenoble, un étudiant âgé de 26 ans.
L’hôpital psychiatrique ainsi que trois médecins avaient été mis en examen pour « défaut d’appréciation de la dangerosité du patient ».
Le coupable avait été l’auteur de plusieurs agressions auparavant. Il raconte même avoir eu un épisode délirant où il entendait des voix lui commandant de « trancher la gorge d’un autre patient ».
Mais voici ce que les psychiatres ne nous disent pas : ils administrent des traitements pouvant être à l’origine de ce type d’incidents macabres.
Les effets secondaires des médicaments psychiatriques sont : insomnie, agitation, amnésie, agressivité, nervosité, anxiété, délires, psychoses, hallucinations, pensées et comportements suicidaires, et bien plus encore. (source : Dictionnaire Vidal)
Nous pouvons en voir les conséquences désastreuses partout autour de nous. Les exemples affluent chaque jour dans la presse, montrant clairement que la plupart des crimes et suicides sont commis par des personnes ayant été internées ou étant sous l’emprise de drogues psychiatriques.
Le fait qu’un psychiatre et un hôpital soient aujourd’hui jugés pour homicide involontaire remet en cause l’efficacité de la psychiatrie qui administre à tout va des traitements dangereux. Cela entraîne des morts tragiques et un taux de criminalité de plus en plus important dans notre société.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme existe depuis 40 ans France pour dénoncer les abus psychiatriques. Elle est contactée tous les jours par des victimes, et constate que de nombreux patients meurent dans les hôpitaux psychiatriques français sans que justice ne soit rendue. La CCDH, ainsi que de nombreuses familles en deuil, demande à ce que la responsabilité des psychiatres soit reconnue et qu’ils soient condamnés pour leurs crimes.
Pour plus d’informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdh.fr, ou contactez-nous par téléphone au 01 40 01 09 70 ou par email à info@ccdh.fr