Psychiatrie et déficit budgétaire
Le déficit de la sécurité sociale fait aujourd’hui partie des priorités du gouvernement.
La dette avait atteint son point culminant en 2010 en France, avec près de 24 milliards d’euros de déficit. En 2011, l’Assurance Maladie (une des branches de la sécurité sociale) présentait un déficit de 9,5 milliards d’euros. L’État Français annonce vouloir retrouver un équilibre budgétaire de l’Assurance Maladie d’ici 2015.
La psychiatrie et ses traitements jouent un rôle important dans ce déficit budgétaire. La Cour des Comptes évalue le coût économique de la psychiatrie à 107 milliards d’euros par an. Parmi ces dépenses, 13 milliards d’euros sont remboursés par l’Assurance Maladie.
L’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Économique) a récemment recommandé à la France de revoir son système de santé et de dérembourser les médicaments peu efficaces.
Un grand nombre de médicaments psychiatriques, les psychotropes, sont inefficaces et sont même dangereux pour les consommateurs.
Comme certains psychiatres l’affirment, les psychotropes ne soignent pas les maladies mentales. De plus, ils sont susceptibles d’entraîner de graves effets secondaires : hallucination, anxiété, troubles cardiaques et respiratoires, agressivité, comas, comportement suicidaire, etc.
Afin de réduire le déficit de la sécurité sociale qui pose aujourd’hui un sérieux problème dans notre pays, et de préserver la santé de millions de citoyens, ces médicaments psychiatriques ne devraient plus être remboursés. Des alternatives naturelles, efficaces et sans danger devraient être favorisées pour aider les personnes en difficulté.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme a été créée en France en 1974 pour dénoncer les abus psychiatriques. De nombreuses victimes contactent l’association chaque semaine.
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