Psychiatrie : traitements barbares et destruction du cerveau
Depuis ses débuts, la psychiatrie a présentée des pratiques barbares comme traitements pour soigner les maladies mentales.
Ce fut le cas des lobotomies, les chirurgies du cerveau, apparues en 1935. Les psychiatres prétendaient guérir leurs patients en s’attaquant à leurs lobes frontaux. L’opération était souvent pratiquée avec un marteau et un pic à glace enfoncé dans l’orbite. Il fut révélé plus tard que des patients ayant subit ces opérations souffraient de séquelles, d’épilepsies, et en mouraient.
Les électrochocs (sismothérapies) furent également instaurés comme traitement vers 1940. Le « traitement » consiste à envoyer un courant électrique dans le cerveau pouvant aller jusqu’à 200 volts, à l’aide de deux électrodes placées sur les tempes. Le but est de produire volontairement un état épileptique. Au début, les électrochocs provoquaient chez 40 % des patients des fractures dues aux convulsions. L’électrochoc fut ensuite administré avec des paralysants et sous anesthésie pour diminuer les effets effrayants des convulsions. Mais ces produits ne réduisent en rien l’impact du choc sur le cerveau, qui continue d’entraîner de graves effets : syndromes confusionnels, troubles de la mémoire, épilepsie, mort, etc. Les électrochocs sont toujours pratiqués aujourd’hui en France, les séances étant généralement administrées deux à trois fois par semaine.
Aujourd’hui, de nouvelles méthodes barbares sont expérimentées. A en croire les psychiatres, ce seraient les nouveaux traitements miracles pour guérir les maladies mentales.
La stimulation magnétique transcranienne (TMS) en fait partie. La première étude fut réalisée en 1985 en Angleterre. Cette technique récente utilise des images magnétiques afin de viser une zone particulière du cerveau et de diriger un champ magnétique à l’aide d’une bobine. Le traitement prévoit plusieurs séances pouvant aller de 10 à 30 minutes et est effectué sans anesthésie. Cette stimulation pourrait entraîner des maux de tête et des crises d’épilepsie, mais les effets à long terme ne sont pas encore connus. Pourtant la TMS est déjà pratiquée dans des hôpitaux en France.
La méthode de stimulation cérébrale profonde est un autre traitement récent, mis au point au CHU de Grenoble dans les années 1990, et constitue un appareillage effrayant. Une tige métallique est implantée à travers le crane dans une zone particulière du cerveau. Cette électrode envoie des signaux électriques aux neurones, selon les ordres d’un neurostimulateur implanté sous la peau du torse, relié par un long fil électrique traversant la nuque. Le patient peut lui-même moduler les stimulations à l’aide d’une télécommande. Ce « traitement » peut engendrer des infections, des hémorragies, des troubles de l’humeur, des déficit neurologiques irréversibles et même la mort. Mais encore une fois, les effets à long terme ne sont pas connus.
La psychiatrie n’a malheureusement pas évoluée. Elle ne connait pas la cause des maladies mentales, ne sait pas comment les soigner, et est incapable de décrire les effets de ses « traitements ». Les patients sont utilisés comme cobayes, alors que des méthodes barbares pouvant être fatales sont pratiquées, financées, et développées en France et ailleurs. Ces méthodes ravageuses doivent cesser.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme existe en France depuis 1974 pour dénoncer les abus psychiatriques, et est contactée chaque semaine par de nombreuses victimes des traitements psychiatriques.
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