Une étude de plus pour inciter les parents à consulter des psychiatres pour leurs enfants ?
La première chose remarquable dans cette étude, c’est que rien n’est affirmé : "serait lié", "peut contribuer", "pourraient ainsi consacrer moins de temps", "peuvent ainsi perturber". Ce qui amène logiquement à la seconde chose remarquable de cet article : il n’y a aucun chiffre pour essayer d’étayer ces suppositions ! On pourrait très bien en conclure que c’est parce que justement il n’y a peut-être pas de chiffres à fournir… Combien d’adolescents ont-ils été suivis, pendant combien d’années, etc., pour cette étude?
Alors on peut se poser la question : si elle n’aboutit à aucune conclusion, à quoi sert cette "étude" ? A faire peur aux parents et à les amener à consulter un psy avec leurs enfants?
On sait que les drogues psychiatriques sont plus nuisibles qu’autre chose (même certains psychiatres le dénoncent) et n’apportent aucune aide véritable aux patients ( sauf à considérer l’abrutissement permanent et le suicide comme des aides…); de plus, hélas, trop de psys et de médecins acceptent comme parole d’évangile tout ce qui vient des laboratoires pharmaceutiques, dont les bénéfices (scandaleux car effectués au détriment de vies ruinées) jettent pourtant un sérieux doute sur leurs motivations profondes…