Violence causée par les psychotropes
Il y a quelques jours à peine, un jeune homme de 17 ans prend une classe de maternelle en otage à Besançon. Le jeune homme, armé de deux sabres, affirmait vouloir se suicider. Il était sous antidépresseurs.
Ce n’est pas la première fois que les psychotropes, médicaments psychiatriques, sont impliqués dans des affaires de meurtres ou de violences.
A Orly, en décembre 2009, un père jette son fils de quatre an par la fenêtre. L’homme était suivi dans un hôpital psychiatrique.
En janvier 2010, l’agresseur de Roquebrune poignarde un retraité alors qu’il venait de sortir d’un hôpital psychiatrique.
En mai 2010 en Vendée, un médecin assassine sa femme et ses quatre enfants, puis se suicide alors qu’il venait de prendre des psychotropes.
En août 2010 à Paris, un homme tue à coups de poing un retraité alors qu’il suivait un traitement psychiatrique depuis plusieurs années.
Ces faits divers ne sont pas des coïncidences, mais témoignent plutôt de l’incompétence des psychiatres et de la dangerosité de leurs traitements. En effet les médicaments psychotropes ne soignent pas et entraînent de nombreux effets secondaires, parmi lesquels on trouve l’agressivité, les pensées suicidaires ou les hallucinations.
Les Français sont connus pour faire partie des plus gros consommateurs de psychotropes au monde.
Pourtant, un projet de loi risque d’augmenter considérablement cette consommation déjà excessive.
Déjà déposé à l ‘Assemblée Nationale, ce projet de loi porte atteinte aux libertés des Français. Il permettra d’administrer de force des traitements psychiatriques à n’importe quel citoyen, sans nécessité d’hospitalisation.
Cela signifie que n’importe quel Français, du jour au lendemain, pourrait être contraint de se rendre régulièrement dans un établissement pour recevoir des pilules ou des injections de psychotropes.
Si une personne refuse, elle sera internée en psychiatrie.
Les traitements destructeurs de la psychiatrie pourront être administrés de force à grand nombre de citoyens français, et ainsi on pourra mettre toute la population sous camisole chimique.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme dénonce ce projet de loi liberticide, et a déjà fait signer des milliers de pétitions contre le vote de cette loi.
CCDH dénonce depuis plus de trente ans les dangers des médicaments psychiatriques. De nombreuses victimes de ces traitements contactent l’association toutes les semaines.
Pour plus d’informations, visitez le site de CCDH www.ccdh.fr, ou contactez nous au 01 40 01 09 70, ou au 06 28 06 59 16, ou par email à info@ccdh.fr.