Témoignage d’Andrée Beldon-Monnier
“La CCDH a une grande mission à accomplir, celle de faire respecter l’intégrité et la santé mentale des citoyens internés abusivement. Il convient de réagir très vite et très bien.
La CCDH intervient, nous informe, nous conseille immédiatement et nous envoie les documents administratifs nécessaires, pour faire lever cette décision arbitraire (un internement sous contrainte).
La CCDH répond présent aux demandes et SOS des victimes mises à mal pendant pareille épreuve.
Les violences psychiatriques infligées en parfaite légalité aux personnes sont une infamie et une barbarie dignes des goulags et camps nazis et traduisent la réelle ignorance de la médecine psychiatrique française.
Légaliser l’internement par simple avis médical expose une personne à tous les dangers.
Il faut que la justice soit juste et condamne cette médecine destructrice au même titre qu’un délinquant de droit commun.
Il faut détecter ce comportement pathologique de la psychiatrie qui consiste à voir le mal partout et qui projette dangereusement un savoir ou un vécu sur autrui.
Il faut donner moyens, force et pouvoir au CCDH qui lutte pour la santé, la liberté, la justice et contre le terrorisme psychiatrique.
Tous les hommes naissent égaux entre eux, et ils sont tous dotés des mêmes droits inaliénables et essentiels : le droit à la vie et à la liberté.
Il faut combattre l’illégitimité de cette médecine qui ne pratique pas avec conscience et savoir.
«Aristote a dit « nous ne connaissons pas le vrai si nous ignorons la cause ».
La psychiatrie s’emploie à masquer les symptômes. Elle ne recherche pas l’origine d’un mal, elle ne soigne donc pas. »