Laissons VIVRE nos enfants !
Une enquête de Santé publique France (https://www.francetvinfo.fr/sante/enfant-ado/une-enquete-de-sante-publique-france-revele-que-plus-de-8-des-enfant-scolarises-en-maternelle-connaissent-au-moins-une-difficulte-de-sante-mentale_6947807.html) annonce qu’un peu plus de 8 % des #enfants scolarisés en #maternelle présentent au moins une difficulté de #santé mentale, allant de troubles émotionnels à des difficultés de comportement !
Cette étude suscite des interrogations sur le dépistage précoce des enfants dès leur plus jeune âge !
En effet, de nombreux enseignants et parents jugent qu’il y a une surpathologisation des comportements des enfants. Ils estiment que certains diagnostics (HPI, autisme, TDAH, dys- etc.) sont parfois utilisés comme des étiquettes pour expliquer des comportements ou une baisse d’effort scolaire.
Et qu’en est-il de l’impact des écrans, jeux vidéo etc. ? Sont-ils responsables d’un comportement problématique chez les jeunes ?
Des parents témoignent de parcours différents, parfois marqués par des difficultés comme la dyslexie, mais concluent que des environnements stimulants et respectueux peuvent amener les enfants à s’épanouir.
La CCDH alerte sur les risques liés au dépistage massif des troubles psychiatriques chez les enfants dès le plus jeune âge. Si certains enfants nécessitent un soutien adapté, il est crucial d’éviter la stigmatisation précoce et de privilégier des solutions éducatives non médicalisées qui respectent le rythme de chaque enfant.
Selon le Rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à l’#éducation : « les systèmes éducatifs doivent promouvoir des alternatives inclusives qui s’appuient sur une pédagogie respectueuse de la diversité et des besoins individuels, en s’éloignant des approches standardisées et médicalisées. »
Ce principe invite à une réflexion sur l’importance de développer des environnements éducatifs favorisant la créativité, l’exploration et l’interaction sociale plutôt qu’un dépistage systématique.
Le dépistage des troubles ne doit pas se substituer à une éducation bienveillante. Investissons dans des solutions éducatives durables et des modèles familiaux équilibrés pour permettre à chaque enfant de développer son plein potentiel sans étiquette réductrice !