Ritaline* et autres stupéfiants : les risques pour nos enfants

D’un déficit d’attention à un déficit d’information

Dans de nombreux pays les difficultés des enfants – nervosité, agitation, problèmes scolaires – sont de plus en plus souvent médicalisées. Le problème auquel se heurtent les parents et les enseignants porte un nom : le “trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité”, le TDAH.

En France cela se traduit par la prescription assez fréquente de médicaments commercialisés sous des noms différents mais tous à base d’une molécule unique, le méthylphénidate, couramment “Ritaline”.

Cette évolution est-elle souhaitable ? Est-elle surtout sans danger ?

Nous avons réalisé le présent document pour faire face au manque d’informations sur les origines de cette maladie nommée TDAH, sur l’historique de la Ritaline et les controverses qu’elle soulève. On y verra que même l’ONU, dans sa convention relative aux droits de l’enfant (2015), s’est déclarée préoccupée de l’augmentation de la prescription de ce médicament.

Le sujet n’est pas simple. Mais il s’agit de la santé de nos enfants et de leur avenir. Il nous a paru important de rassembler les principaux éléments connus à ce jour.

* Le principe actif de la Ritaline, le méthylphénidate, est également prescrit sous d’autres noms commerciaux : Concerta, Quasym et Medikinet.

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